Oui et… non. D’un côté, la mutualisation des coûts (loyer, nourriture, véhicule, etc.) permet de réaliser des économies importantes. De plus, si le couple déclare leur partenariat auprès de la commune de leur lieu de résidence, l’imposition est plus avantageuse que celle de deux célibataires, même sans enfant. De l’autre, la vie de couple n’est pas pour autant le paradis des radins. Des dépenses insidieuses peuvent se mettre en place comme, par exemple, le fait qu’un conjoint ne veut pas imposer des limites au train de vie de l’autre ou cache ses dettes par peur de compromettre la relation.
Alors, quelles sont les dérives financières possibles de la vie à deux et comment les éviter ?